Chères amies lectrices.
Voilà le premier récit d'une longue série de textes qui relatent mes aventures sexuelles. Ce sont toujours des histoires vraies. Afin de rendre ces récits attractifs, j'utilise les astuces de l'articulation narrative du roman. Cette formule rend l'ensemble amusant et excitant.
Une vie de privilégié offre des aventures de priviégié. Souvent exceptionnelles et SEX-traordinaires, mes aventures sauront divertir le plus grand nombre.
Ces textes, dont les droits sont réservés, (et déposés), s'adressent aussi bien aux Dames qu'aux Messieurs. Comme je suis exclusivement hétérosexuel, j'adresse avant tout mes récits aux jeunes femmes désireuses de s'évader dans la lecture d'aventures érotiques masculines. C'est donc uniquement l'avis des Dames qui m'intéresse. Ce n'est donc qu'aux Dames que je me ferais un plaisir de répondre. Echanges par MP ...
Bonne lecture
Elle me fait visiter la ville (Episode 1)
Il y a deux ans, pour des raisons professionnelles, il me fallait me rendre sur Bordeaux, en Gironde. Je ne connaissais pas bien pas cette ville. Je décidais d'en savoir plus et étudiais quelques documents touristiques. J'envisageais d'y passer quatre jours. Un peu comme pour des vacances, car j'aurais du temps à disposition pour les découvertes.
A cet effet, à tout hasard, sur quelques sites de rencontres, je passais une annonce précisant que je cherchais une "Guide" pour me faire découvrir Bordeaux et ses environs. Je ne perds jamais une occasion de saisir une opportunité que j'aime à provoquer. On ne change pas sa nature de grand "chasseur" du jour au lendemain.
J'eu rapidement plusieurs contacts. Pour la plupart, ces réponses émanaient de "professionnelles" et autres "escort-girls" occasionnelles. Ce qui ne m'intéressait absolument pas. Je n'ai jamais fréquenté de femmes vénales. D'ailleurs, vu les prix demandés, je pouvais rester à Bordeaux huit jours de plus ! Les personnes faisant commerce de leurs charmes et de leurs corps ne m'intéressent absolument pas...
Quelques jours avant mon départ, alors que je ne m'y attendais plus du tout, je reçu une réponse très agréable d'une étudiante de vingt deux ans. Cette dernière, préparant un BTS tourisme, me proposait de me faire découvrir Bordeaux. Je suis d'un naturel chanceux...
J'arrivais à la gare Saint Jean ce lundi matin de juin. Un soleil magnifique et un ciel bleu me mirent immédiatement dans une condition mentale à toutes épreuves. Sur le quai 2, la jeune fille était là. Je l'appellerais Isabelle pour préserver son anonymat.
Vêtue d'un pantalon beige et d'un T-shirt blanc, chaussée de mocassins, elle me reconnue grâce à la description que je lui avais faite de ma personne. Elle se présenta. Je fis de même. Je l'invitais à boire un café au buffet de la gare. Qui connait ce lieu sait à quel point il est convivial. Ce qui est plutôt rare pour une gare.
Nous bavardâmes longuement. Isabelle me parlait de son BTS et de ce qu'elle attendait de sa vie professionnelle. Je lui parlais de ma situation professionnelle et de ma raison d'être à Bordeaux. Elle était très étonnée par les photographies présentant la qualité de quelques unes de mes créations.
Puis, accompagné de mon hôte, j'allais chez un loueur de voitures afin d'y prendre une petite Clio pour mes quatre jours dans la ville. Cela me permettait une totale indépendance pour mes déplacements. Isabelle m'accompagna dans les locaux de l'agence de location, se situant tout prêt de la gare. J'avais contacté cette agence quelques jours avant mon arrivée. La voiture m'attendait là.
Selon ce qui avait été convenu par mail, puis confirmé par téléphone, j'assurais les repas de midi et du soir. Lorsque je pris possession du véhicule, d'un rouge affreux et criard, la jeune fille m'invita à parcourir les environs immédiats de la ville. Nous parcourions les petites routes de la campagne Girondine, à proximité de Bordeaux. En cette saison, tout était magnifiquement vert. Nous approchions de 13 heure et il commençait à faire chaud. Je proposais à Isabelle de nous rendre dans un restaurant. La jeune fille me guida vers un établissement très bien situé, à proximité d'un étang de toute beauté. Très peu cher de surcroît...
Il me faut ici faire une aparté. Je suis pingre. Radin. Econome. Depuis longtemps, j'ai doublé toutes les poches de mes vêtements de belles peaux de hérisson. Cette qualité me permet d'être à l'abri du besoin.
Isabelle me proposa de me faire visiter le Centre ville de 15 heure jusqu'en soirée. Son activité de guide s'arrêtant, comme convenu, à 21 heure. Nous avons commandé un délicieux repas que nous avons savouré en bavardant. Isabelle, plutôt réservée, semblait s'amuser de nos échanges. La conversation glissant vers des propos "légers", voire, parfois, franchement graveleux. Je suis un fin renard...
Nous reprîmes la voiture pour retourner vers Bordeaux. Je garais le véhicule dans le parking Victor Hugo. De là, nous marchâmes jusqu'à la place des Quinconces. Bordelaise, Isabelle connaissait bien la ville. En effet, au fur et à mesure de notre promenade, la jeune fille ne tarissait pas d'anecdotes sur tel ou tel monument, lieu-dit ou rue. Une guide parfaite.
Il faisait chaud. Je proposais à ma guide de déguster une bonne glace à l'une de ces terrasses de cafés qui invitaient au flegme et à la paresse. Isabelle semblait être de plus en plus à l'aise en ma compagnie. Perdant un peu de cette agaçante réserve de façade. J'appréciais sa compagnie. Elle semblait apprécier la mienne.
Après cet intermède rafraîchissant, Isabelle m'emmena visiter le Parc Floral. Ce fût une merveilleuse découverte. Il y avait là un éventail des plus belles fleurs. J'appréciais tout particulièrement la vaste collection d'orchidées. Plus belles les unes que les autres. Sans parler de toutes ces sortes de roses aux déclinaisons de couleurs les plus insolites.
Nous restâmes à déambuller en ce lieu jusqu'aux environs de 19 heure. Je proposais à Isabelle de me faire découvrir un bon petit restaurant afin de déguster une spécialité de la région. Nous sommes allés chez "Fernand". Notre choix se porta sur une Lamproie à la Bordelaise noisettine au Médoc. Un vrai régal. Qui a déjà goûté à la cuisine de "Fernand", sait de quoi je parle...
C'est pendant le dessert que la jeune fille eut un curieux regard à mon encontre. Un regard évocateur. Mais, en vieux "chasseur", je savais qu'il ne fallait rien tenter ce soir. Qu'il fallait surtout rester distant et ne faire semblant de rien. Une belle jeune femme met un point d'honneur à ne fréquenter que des chasseurs sachant chasser sans leur chien...
Après le repas, je raccompagnais Isabelle jusqu'à sa voiture, garée dans une petite rue, derrière le Colombarium. Nous nous fixâmes rendez-vous le lendemain matin, devant la Cathédrale Saint André, à neuf heure. Je pris congé de la jeune fille. Je rentrais à mon hotel, le "City Résidence", dans le centre. Je garais la voiture dans le parking de l'hotel. Je recommande cet établissement pour la qualité de ses prestations.
La nuit fut calme, reposante et pleine de bons conseils. La jeune fille qui apporta le petit déjeuner, dans ma chambre, au matin, me fit apprécier de vivre une nouvelle et radieuse journée. Belle, souriante et avenante.
Ce matin, à neuf heure précise, Isabelle était là. Vêtue d'une jupe rouge "ecossaise" plissée, d'un chemisier mauve et chaussée d'escarpins à légers talons. Ses longs cheveux chatains, contrairement à la veille où ils étaient attachés, flottaient sur ses épaules. Le soleil était déjà haut dans le ciel. Il faisait déjà très agréable.
La jeune fille me proposa de visiter le Musée des Beaux-Arts, sachant mon goût pour les arts. Je lui en avais parlé la veille, au restaurant, précisant que mon intérêt pour les Musées des Beaux-Arts constituait, chez moi, un véritable trouble obsessionel compulsif. Nous nous sommes rendu dans la grande batisse.Le Musée n'ouvrant ses portes qu'à dix heures, Isabelle me proposa de visiter l'exposition temporaire dans le batiment situé devant le Musée.
Nous étions seuls dans le hall. L'entrée étant gratuite, je me dirigeais vers l'acceuil afin d'y découvrir les dépliants explicatifs. Je feuilletais un document. Je regardais devant moi. Au delà du présentoir-tourniquet des revues, je découvris Isabelle, les cuisses légèrement écartées, accroupie, entrain de faire tourner le présentoir. L'effet de surprise passé, je faisais semblant de lire ma brochure. Je louchais vers la jeune fille. Essayant de voir au travers des reliures du présentoir. J'avais un pantalon clair. La bosse de mon érection soudaine était bien visible, me gênant presque.
Je savais que la journée était bien partie. J'apprécie ces situations qui illuminent l'existence d'un parfum suave et particulier. Et, lorsque cela est provoqué par une personne qui partage ce même goût, c'est tout simplement sublime.
Vers dix heure, sortant du batiment, traversant la rue, nous nous rendîmes au Musée des Beaux-Arts. Je n'avais plus vraiment la tête à l'Art. Mais, toujours rusé, je savais parfaitement cacher mon tourment. Isabelle également.
Nous savions à présent, tous deux, que nous étions entrés dans un jeu délicieux...
A suivre dans l'épisode 2...