bonjour,
voici la suite de cette palpitante aventure...
Bonne lecture à tous et toutes...
Nous voici à moins de 3 heures du rendez-vous... habitant tous 2 dans le département 13, j'avais organisé la rencontre dans la belle ville d’Aix-en-Provence (c'est une ville universitaire où Lise poursuivait ses études de Droit et logeait en cité U), précisément dans l'un des prestigieux cafés du cours Mirabeau (pour ceux qui connaissent) à 18h30, moment où il y a foule dans ce genre d'établissement l'hiver. De cette manière, il me serait plus facile de repérer une jeune fille attablée toute seule parmi les nombreux clients...
Pour ne pas la mettre trop mal à l'aise, je lui avait demandé de porter des vêtements qu'elle avait l'habitude de porter : jean 501stone watch, chemisier ample et sweat-shirt par dessus. Pour marquer cette première rencontre réelle, je lui avais demandé de se rendre dans un des sex-shop du quartier chaud de la ville et d'acheter un « egg vibrator » à télécommande. C'est un gadget ayant la forme d'un œuf (d’où son nom!), qui s'introduit dans le vagin et vibre selon plusieurs types de programmes... la particularité de celui que j'avais demandé à Lise d'acheter résidait dans le fait que les séquences de vibrations pouvaient se commander à distance... Et j'avais donc exigé quelle se présente à notre premier rendez-vous avec l'objet vibratile dans le vagin !
Je pénétrais dans le somptueux café décoré XIXème, l'affluence habituelle faisait régner un délicieux bourdonnement mêlant rires, conversations et tintements de cristal dans une atmosphère feutrée que l'on ne trouve que dans ce genre d'établissement. Sans que je ne sache l'expliquer rationnellement, je reconnus d’emblée ma chère Lise...Avec un sourire admiratif, je m'approchais d'elle. Comme je le lui avais indiqué, j'étais vêtu de noir, une rose blanche à la main. Lise était comme je me l'étais imaginé, le visage presque juvénile le tain clair, ses cheveux dorés s’arrêtaient aux épaules en formant de grandes boucles gracieuses. Elle aussi m'avait reconnu et je me rassurais de voir que j'étais moi aussi conforme à ses attentes à la vue de son large sourire quand je fut à sa portée.
« Bonjour Lise » dis-je simplement à lui tendant la rose blanche tandis que je m'asseyais à sa table.
« Bonjour Monsieur Max (c'est ainsi qu'elle me nommait avec mon approbation) » me répondit elle timidement sans doute très impressionnée de me voir en chair et en os. Avant de continuer :
« Merci pour la rose, moi aussi j'ai un cadeau pour vous... » dit-elle en poussant de sa main fragile un paquet de la taille d'une grosse boite d’allumettes emballé dans un joli papier cadeau posé sur la table en marbre rond.
J'attendis silencieux que le garçon de café est terminé de nous servir les boissons que j'avais commander. Enfin tranquille, je me mis à déballer mon cadeau surprise : je reconnus la télécommande du jouet de Lise. Toujours silencieux, je la regarda en lui souriant pour lui montrer ma satisfaction, elle me sourit me faisant comprendre sa dévotion et confirmant qu'elle avait bien suivie ma perverse recommandation... Au même moment, je sentis ma verge gonfler dans mon pantalon et l'image de cet œuf dans le vagin de Lise m'apparu presque comme si je pouvais la voir !
« j'ai mis des piles, vous pouvez en disposer Monsieur Max ! » dit elle d'une voix presque naïve qui me faisait tellement craquer... !
Sans un mot je mis la télécommande sur « on », et positionna le potentiomètre sur le cran 1 (il y avait 4 positions).
Lise se mit brusquement à sursauter : je savais que le jouet avait commencé son travail vibratoire dans les entrailles intimes de cette jeune femme que je connaissais à peine. Le sentiment de pouvoir stimuler ses parois vaginales à distance m'excitait au plus haut point !! le sentiment de domination était à son apogée : pouvoir jouer de la sorte avec ce jeune corps mis à ma disposition, à la volonté de tous mes délires pervers, quel bonheur !
Dignement, Lise restait impassible maîtrisant particulièrement bien cette séance de massage vaginal imposé et totalement improvisé... Je jubilais de plaisir et je tournais à présent le bouton de commande sur la position 2 en fixant du regard ma douce Lise. Son ventre se rétracta sous l'effet de cet objet qui remuait en elle. Avec une impassibilité volontairement pronocée, je buvais mon Perrier menthe en la regardant lutter contre ce corps étranger qui lui tiraillait le vagin. Je me délectais du pouvoir que j'avais sur son intimité : je poussais alors le cran sur 3 : Lise ne put empêcher d'avoir un réflexe : prise par surprise sa main se posa sur son sexe par automatisme comme si elle avait eu une violente crampe au bas ventre. Afin d'éviter d'attirer trop l'attention vers nous, je mis fin à ce petit jeu en coupant l'alimentation depuis ma télécommande.
« Il va falloir que tu t’entraîne... » lui dis-je en jouant tendrement avec une boucles blondes posée sur son épaule.
En guise de réponse, elle tourna la tête vers ma main et y déposa un tendre baiser synonyme de dévotion. Le contact de ses fines lèvres chaudes sur le dos de ma main me fit frissonner.
A mon tour, je m'approchais d'elle me penchant vers son doux visage, déposant un baiser sur sa joue rosée par l'excitation, elle était bouillante ! Je chuchotais alors dans le creux de son oreille :
« Ouvre les boutons de ton 501, retire l’œuf de ton vagin et donne le moi ! »
aussitôt, sa main descendit discrètement sous la table entre ses cuisses, je vis sa main adroite déboutonner le jean avec une grande précision. Ses longs doigts fins disparaissaient dans la braguette pour en ressortir aussitôt. Je pus voir son index passer dans le petit anneau blanc qui était relié à un fin cordon blanc : elle tira dessus tout en soulevant très discrètement ses fesses du siège : dans un éclair, je vis l’œuf s'expulser hors de la braguette! Avec une étonnante dextérité, elle saisit l'objet gluant de cyprine et discrètement me le glissa sous la table. Le contact dans le creux de la main de cet objet qui un instant avant était logé tout au fond du vagin de Lise me procura un plaisir intense ! Bien serré dans ma main je portais alors le jouet vers mon visage et me mis à renifler les effluves intimes de ma chère Lise ! Mon pénis était gonflé sous mon pantalon. Je me saisis de la main de Lise et la posa sur ma virilité ; sans que je lui demande, elle appuyait sa petite main contre mon étreinte que la toile de mon pantalon moulait parfaitement. Par discrétion je retirais sa main de ma virilité. Je demandais alors à Lise de quitter la table en lui donnant rendez-vous ce soir sur notre site habituel pour reparler de ce premier contact intense d'émotions avec comme consigne stricte de ne pas se toucher avant !
… à suivre !