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 Tortueuse sexualité

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maitroctav

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MessageSujet: Tortueuse sexualité   Tortueuse sexualité Icon_minitimeLun 25 Déc - 8:54

« Vous avez l’esprit en queue de cochon ! »
C’est ce que me dit un jour ce professeur de grec que ma constance à ergoter devait exaspérer.
Ce qu’il disait de mon esprit, vaut pour mon cœur et pour mon sexe.
Cette « queue de cochon » ne désigne pas sa forme, minuscule au repos, gland enfoui sous un long prépuce.
Mais elle caractérise bien la manière dont ma libido « tordue » le débride et le tend, désirant et désiré.
D’ailleurs la fibrose qui en rétrécit le conduit, a fini par le tordre légèrement, dans cet état.
Mais je n’attendis pas d’être en seconde pour penser, aimer et jouir « autrement qu’il convient ».
Je suis tordu, torturé, torturant.
Mais surtout.
Tortueux.

Tortueuse sexualité, donc, depuis l’enfance.

Le premier souvenir date sans doute de la chute dans l’escalier « tortueux » de C.
J’avais trois ans.
J’ai surpris « une dispute » entre mes parents.
Du moins, j’ai cru que c’était ça.
J’ai reculé, et dévalé, tout l’escalier, jusqu’au perron où je suis resté tordu et muet, comme extatique. C’est mon premier souvenir, et il est à la fois inquiétant, excitant, fascinant, douloureux et délicieux.

Á la même époque, j’ai découvert la lingerie de ma mère.
En hiver elle faisait sécher le linge dans la cuisine.
Et elle plaçait souvent sur la barre de cuivre de la cuisinière ses culottes, en linon rose ou champagne, larges comme on les faisait dans les années 40.

Avant son mariage, maman était une jeune femme élégante, comme en témoignent les photographies que j’ai conservées, qui la  représentent entre 20 et 35 ans.
Pendant ma petite enfance, elle finissait d’user cette garde-robe bourgeoise.
Elle portait souvent, entre autres, une robe bleue à pois blancs, en crêpe.
Mais je me souviens très bien, surtout, des culottes.
Mon père avait dû remarquer qu’elles m’intéressaient, parce que je me souviens d’un soir où il plaisantait avec moi, à propos d’une de ces culottes, déjà tentatrices, que j’avais dû caresser sous prétexte de vérifier si elle était sèche.
Je n’avais que quatre ou cinq ans.
Il me semble qu’ensuite les culottes de maman ne séchaient plus aussi ouvertement. Mais je trouvais maman très belle, et je passais mon temps à lui caresser les bras et les cheveux.
Il m’arrivait aussi de m’asseoir par terre, pour jouer avec des cubes, pendant qu’elle cousait à la machine pour voir ses très belles jambes s’agiter sous sa jupe.
Il m’arrivait d’entrevoir la lisière de ses bas lorsque la pédalée énergique retroussait un peu sa jupe.
Il m’arrivait aussi de jouer sous la table et de remonter ma main le long de ses jambes tout en mimant le bruit du moteur de la voiture que je guidais sur ce chemin « tortueux » et « délicieux » qui, sous prétexte d’une montagne à franchir, devait mener ma main du soyeux du bas à la douceur de la chair. Mais la jambe me repoussait avant que j’aie même atteint le milieu du « col », enfin du mollet.
Je devais avoir entre six et sept ans.

(à présent j'en ai 70, mais ma sexualité reste tortueuse, assez proche de celle que recherche Isa-Belle, mais en lisant la suite de ce début de présentation et la premier récit que j'ai donné hier en réponse au dernier sujet traité par celle-ci, vous en serez davantage sur mes débuts, car cette présentation je l'écris au "Je" alors que les récits pourront me mettre en scène à la 3ème personne, parce qu'ils seront surtout centrés sur les femmes avec qui j'ai partagé cette tortueuse sexualité)
(à suivre, donc)


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MessageSujet: Suite...   Tortueuse sexualité Icon_minitimeMar 26 Déc - 16:40

"Je devais avoir entre six et sept ans.

Je savais lire, et c’est surtout dans les livres que je trouvais matière à nourrir mon imagina¬tion tortueuse. Dans La vie des Saints je tremblais d’une excitation inconnue devant une gravure re¬présentant Sainte Élisabeth de Hongrie, contrainte d’ouvrir son manteau, et masquant sa poitrine qui aurait du être nue sous un bouquet de roses miraculeusement apparues pour parer son corps, somp¬tueusement proportionné. Mon premier amour, totalement chaste, et qui m’obséda si longtemps que j’entrepris de la revoir après la séparation douloureuse d’avec celle avec qui j’avais concrétisé totalement la sexualité tortueuse qui se construisait alors, s’appelait Élisabeth. J’avais imaginé renouer alors, et peut-être conclure, ce qui était resté suspendu trente et un ans. Mais nous avions tellement changé qu’il y eut conclusion, en effet, mais sans consommation en effets !
Quant aux piquants très acérés des roses de la gravure, ils durent griffer mon inconscient si vivement qu’ils y incrustèrent les premières zébrures des tortueux incréments de mon « profil sexuel ». Mais la gravure préférée était celle du supplice de Brunehaut.

Dans Le livre des françaises illustres, elle avait fière allure, la vieille reine de 82 ans.
Á demie dénudée dans une chemise violette qui moulait des seins parfaits, que seule la censure de l’époque empêchaient de s’échapper au-delà du téton, et s’arrêtait juste au-dessous du pubis, la chevelure blanche, certes, mais abondante comme une crinière, et les membres écartelés par quatre étalons, elle semblait jouir de son supplice.
J’étais trop jeune pour lire ce gang bang symbolique aussi crûment qu’aujourd’hui, mais je ne me lassais pas de le contempler, et j’en rêvais la nuit.

Cette gravure alimenta les rêves de supplices que je faisais subir à ma maîtresse de CE2, Melle L....r, que je n’aimais pas, mais dont je rêvais souvent. Je l’attachais en culotte de linon rose et large et je lui faisais des choses douloureuses et plaisantes pour elle et moi.
Elle alimenta aussi la rêverie interminable qui constitua mon jeu d’enfant le plus constant, dans lequel j’occupais tous les rôles : narrateur, bourreau et victime : j’étais Princesse d’un pays imaginaire, toujours en lutte contre des ennemis terribles, qui me torturaient délicieusement pour que je leur livre mon peuple : ce à quoi je me refusais évidemment, quoiqu’il en coûta à ma vertu et à ma chair, fouettée, battue, liée, malmenée, pétrie, ravagée, mais toujours lumineuse et jouissante.
Cette rêverie grandissait en tortures et raffinements avec l’âge et la variété de mes lectures : Shakespeare, Lawrence, et les aventures d’Ambre, Mol Flanders et Angélique, en assuraient la partie « tortueuse », et Petite Princesse, la partie « sentimentale »
Cette rêverie m’habitait encore pendant le rude hiver 63.

J’étais en Première.
Nous habitions hors de la ville et je parcourais quatre fois par jour les quatre kilomètres de la route du lycée.
Mais à cause du vent d’Est qui tassait la neige en congères de cinquante centimètres, je faisais alors ce trajet à pied, dans un décor tellement taillé pour le développement de mes délires, que ma queue en durcissait, ce qui ralentissait encore la progression déjà difficile, face à la bise qui balayait la campagne nue et la saignait d’ornières verglacées où chaque pas tordant mes chevilles augmentait mon délice à éprouver dans ma chair la douleur silencieuse de ma malheureuse princesse qui allait, elle, en chemise et pieds nus, pliée sous le fouet du garde-chiourme que j’étais aussi, bien entendu, et qui, lui, en bandait au point de se précipiter aux toilettes, dès qu’arrivé, pour soulager le trop plein de son excitation sur le corps épuisé de sa victime !

Entre-temps j’avais découvert la masturbation, qui calmait souvent (même en plein air, dans le jardin de mes grands parents ou les bois d’alentour) les ardeurs ainsi nées de mon imagination... débordante !"
(à suivre)


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MessageSujet: Pour happy few, la suite...   Tortueuse sexualité Icon_minitimeMer 27 Déc - 19:42

Entre-temps j’avais découvert la masturbation, qui calmait souvent (même en plein air, dans le jardin de mes grands parents ou les bois d’alentour) les ardeurs ainsi nées de mon imagination... débordante !

Dans une bande dessinée que je lisais vers dix ans, l’indien "Oumpah-Pah" torturait gentiment le lieutenant "double-scalp" en lui chatouillant le nez avec une plume.
Je décidais que pour torturer ma princesse, je la chatouillerais de même, mais… entre les cuisses. Non seulement ce n’était pas désagréable, mais d’abord ça chatouillait agréablement, tandis que la verge se gonflait, et au moment où ça devenait presque douloureux dans le périnée, c’était en même temps très plaisant, et ça déclenchait des vibrations curieuses dans le ventre et tout autour et ça donnait envie de tout prendre à pleines mains. Si bien que très vite je changeais de technique pour un frottement plus efficace, et répété plusieurs fois par jours, surtout à partir du moment où la vibration s’accompagna d’éjaculation.
Comme il fallait bien qu’à défaut de torture ce plaisir s’accompagnât de tordu je l’accommodais…

Parfois je forçais ma princesse à courir nue dans la cour de la Retraite.
La peur d’être surpris, n’empêchait pas mon sexe de durcir, bien au contraire, ce qui rendait la course difficile, et justifiait la brutalité avec laquelle les soldats ennemis allaient se servir du corps de la malheureuse, qui me faisait jouir à deux ou trois reprises et répandre mon sperme sur le sol de lieux aussi divers que la petite chapelle Ste-Thérèse (LE sacrilège rendait cela encore plus excitant), ou l’une des salles du foyer des Jeunes filles, dont je reparlerai bientôt.
Plus tard c’est dans le bois de l’étang de la tour qu’il m’est arrivé d’aller ainsi me livrer à des courses, nu, dans les ronces et les branches basses, toujours pour « abuser de cette malheureuse princesse » et finir mains et cuisses gluantes.

Sans doute est-ce une résurgence de cela qui me fit un jour de mars 92 me masturber, couché sur le ventre, en frottant mon sexe contre la mousse d’une prairie au bord de l’étang de Coupe-Gorge, juste pour en faire le récit à Jane qui alors se réjouissait avec moi de tels récits qui la faisait ensuite se réfugier dans les toilettes de son bureau pour se soulager de la même façon en rêvant à des supplices aussi infamants que ceux subis par la Princesse de mon enfance, et que je lui réservais, alors, en vrai.

Je découvris aussi, cet été 57 les joies provoquées par la rétention d’urine ou de sperme.

(À suivre, pour les happy few qui visitent, bien qu'ils/elles soient rares et muets)


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MessageSujet: L'été 57   Tortueuse sexualité Icon_minitimeJeu 28 Déc - 16:24

Je découvris aussi, cet été 57,  les joies provoquées par la rétention d’urine ou de sperme.

      C’était chez mes grands-parents, qui faisaient la sieste chaque après-midi.

       Dès le déjeuner terminé, je sortais en même temps que mon grand père et pendant qu'il examinait le travail à faire dans le jardin j'y traçais le parcours d'une étape du Tour de France que ma vingtaine de billes effectuait chaque après-midi, avec toujours le même vainqueur : l'agate bleue que j'avais baptisée  Jacques Anquetil à qui je portais chance puisqu'il gagna effectivement cette année-là le "vrai Tour de France".

      Dès que mon grand-père rentrait pour s'allonger une heure, j'abandonnais mon peloton et je me réfugiais dans sa cabane à outils où je m'emparais d'une pelote de raphia dont j'arrachais un brin afin de m’attacher le prépuce que j'avais difficilement étiré avant, tant je bandais d'avance du plaisir que je me préparais. Il s'agissait, évidemment d'une torture de plus infligée à ma Princesse : ma pine valait pour ses tétons bien ficelés !

      D’abord, j’urinais doucement dans la poche ainsi créée, tout en me promenant dans le jardin, fasciné par le gonflement du ballon de peau étirée jusqu’à la quasi transparence, qui montait se coller à mon ventre nu, doublement rempli par le gland qui se heurtait à cette entrave qui le contraignait d’autant plus qu’il se développait dans le bain amniotique de plus en plus conséquent du flot d’urine qui l’emplissait, augmentant mon excitation et son volume, au point que, par crainte de voir mon prépuce, véritable baudruche oscillant au bout de ma verge, éclater en lambeaux (ce dont je rêvais avec délice et angoisse), je devais bloquer subitement la montée du flot, ce qui provoquait une douleur exquise qui irradiait vivement tout le périnée, la prostate et les bourses.

      Ça devenait alors si intenable de plaisir et de douleur mêlée, que j’arrachais le lien, tout en pinçant la peau que je lâchais brutalement, libérant sur moi et autour la pluie dorée d’où émergeait mon gland violet. Aussitôt je le rengouffrais dans le prépuce que je liais à nouveau pour me masturber vigoureusement.
     Le résultat était rapide et l’effet délicieux et manifestement abondant et odoriférant.

     Puis avant mes grands parents ne se réveillent et avant de reprendre mon jeu de bille, innocent, j'allais vider le sperme devenu liquide et transparent soit dans le bourrier au fond du jardin, soit, quand j’étais audacieux, dans les toilettes de la maison, ce qui supposait que j’étais rentré entravé et culotte baissée, au risque d’être surpris.
     
    L’énurésie dont j’ai souffert jusqu’à douze ans avait sans doute à voir avec ce plaisir tordu, mais je dus attendre trente-trois ans de plus avant de rencontrer la première femme qui partagerait ce goût (et d'autres aussi tortueux) avec moi, même si trois ans après leur invention, j’avais déjà partagé quelques jeux tordus avec une petite-fille d'in an plus jeune, mais tout aussi "vicieuse" que moi, et déjà riche de quelques expériences intéressantes pour ma curiosité.

      Auparavant j'avais déjà eu l’occasion de toucher la féminité autrement qu’en rêveries avec quelques "grandes filles" du foyer, qui avaient entre quatorze et seize ans. Certaines, assez délurées, prenaient prétexte de jouer à des jeux innocents (chat perché, gendarmes et voleurs) avec mon frère et moi, pour se laisser toucher les seins ou le ventre par mes mains dont elles devaient sentir qu’elles étaient naturellement caressantes.

     Mais la surveillante était assez fine pour remarquer les rires énervés qui accompagnaient certaines parties. Aussi demanda-t-elle à notre père d’éviter que nous soyons dans la cour pendant les récréations de ses élèves.

      Heureusement j’attrapais la varicelle juste avant la rentrée de septembre 1960.
(à suivre et terminer)


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MessageSujet: Ici finit ma présentation   Tortueuse sexualité Icon_minitimeVen 29 Déc - 7:37

Heureusement j’attrapais la varicelle juste avant la rentrée de septembre 1960.

Et ma voisine de onze ans, l’attrapa aussi.
       Nous passâmes notre convalescence, ensemble, à jouer dans la cour et les buissons de la Retraite.
D’abord nous jouâmes sagement, surtout au pendu.
Les gages étaient banals et convenus, jusqu’à ce que je lui demande un baiser.
Je perdis la partie suivante et elle m’en demanda deux.
       Dès lors nous nous arrangeâmes pour perdre à tour de rôle et faire monter les enchères du jeu dans un sens qui attisait nos humeurs curieuses et vicieuses
Très vite ce fut sa culotte qu’elle dut baisser, et moi la mienne ensuite, que je dus remettre en laissant ma bite érigée dégagée de la braguette.
       Elle dut alors enlever sa culotte et garder sa jupe relevée au dessus du nombril. Puis je dus pisser devant elle, et elle devant moi....
       Enfin, ce premier jour, nous cessâmes de jouer au pendu, et allâmes, totalement nus, nous toucher dans les buissons, jusqu'à ce que sa mère inquiète de ne plus nous voir jouer sous les tuyas visibles de sa fenêtre, ne l'appelle.
       Mais nous avions eu le temps de nous montrer comment nous nous donnions du plaisir avec nos doigts. Elle se frotta le sexe devant moi, tandis que je me masturbais avec ardeur en la regardant, ce qui me fit juter très vite. C'était la première fois qu'elle assistait à une branlette de garçon, et cela lui plut si fort qu'elle aurait voulu que je recommence. Mais l'appel de sa mère nous força à remettre cela à un autre jour.
       
Dès le lendemain nous abandonnâmes définitivement les autres jeux pour nous retrouver sans culottes dans l'un ou l'autre des recoins discrets et masqués de cette cour, dès nos retrouvailles.

       Elle voulut que je me masturbe à nouveau devant elle.
Je lui demandais d'opérer elle-même, ce qu'elle espérait depuis la veille.
Je lui appris donc à me caresser.
Je jouis encore plus vite que la veille tant j'étais excité.
Ça lui plut tant de sentir mon sperme lui poisser les doigts qu'elle voulut que je recommence aussitôt. Je voulus d'abord lui caresser le sexe, et lui demandais de bien écarter les cuisses pour que je vois bien son trou à pisse. Ce qu'elle fit avec joie. Je lui demandais de pisser sur mes doigts pendant que la frottais. Elle s'exécuta. Ce qui me fit aussitôt re-bander, de sorte qu'elle me branla à nouveau, avec succès.
Elle aimait tant sentir couler mon sperme et moi sa pisse que le jeu n'arrêtait que lorsque nous étions épuisés et sans ressources...

Elle me montra aussi à quoi elle jouait en colonie, là où elle avait fait son éducation de vicieuse.
Elle écartait les lèvres de son vagin et y introduisait les doigts (ce furent bien sûr les miens qui opérèrent dès la démonstration finie) et toute sorte d’objets bizarres (boules de thuyas, notamment), qu’elle me demandait de l’obliger à garder en elle pendant un certain temps.
Elle m’introduisit aussi ces mêmes boules entre gland et prépuce qu’elle fermait par un lien de laine. (Ça je n'aimais pas trop, mais c'était le jeu !)

       Je lui avais, bien sûr, montré mon jeu de rétention d'urine et de foutre, qui lui plut tant qu'elle y ajouta une variante : c'est elle qui nouait et dénouait le lien de sorte que le jus lui gicle dessus quand elle me libérait.

      Elle aimait être enduite de mes liquides et moi du sien.
Un jour c'est ma bite que je lui fourrais dans la bouche.
Nous découvrimes ainsi la fellation (que nous pensions naïvement, avoir inventée) et je fus ravi de jouir sous sa langue et de voir mon jus déborder de ses lèvres cette première fois.
Très vite, et vraiment très vicieuse malgré son jeune âge, elle sut varier le plaisir entre avaler directement ou garder le foutre en bouche pour le recracher lentement coulant sur son menton puis sur ma bite qu'elle relâchait ensuite, ou frottait pour s'en enduire les doigts
      Evidemment elle demanda la réciproque qui lui plut tout autant.

      Elle était devenue aussi ma princesse torturée et je l'attachais à un prunus bien isolé derrière des buissons pour l'inonder et lui fourrer dans le sexe les fameuses boules de tuyau ou d'autres objets. Les liens étaient très lâches  et plutôt symboliques afin de "gicler" dès que l'on sentait l'approche possible d'un adulte.
    Les jours passèrent alors à alterner branlettes, fellations, cunis, et "tortures" attachés à tour de rôle au prunus (la règle de l'alternance demeurait, et puis dans mon fantasme j'étais à la fois bourreau et victime) .
     Elle m'attachait notamment pour me lier le prépuce et jouir de son gonflement, et de sa libération gicleuse sur son entrecuisse.
     Et omme ces jeux purement sexuels s'étaient pimentés des tortures de la Princesse, nous nous fouettions aussi parfois avec des rameaux de sureau, coupés d'un des buissons proches, sous des prétextes divers, dont je n'ai plus le souvenir exact.

Le dernier jour de ma convalescence, elle me demanda de la pénétrer, non plus avec les objets habituels ou mon doigt, mais avec ma bite.
Mais comme j'étais très excité rien qu'à l'idée ce dépucellage, mon gland violacé et très gros se présentait à l'entrée de son con encore étroit et petit malgré ses lèvres écartées et gonflées, aussi elle eut peur d’avoir mal d'abord et aussi d'avoir un bébé.
       Alors nous nous contentâmes de frotter nos ventres et nos sexes jusqu'à ce que j'inonde ses cuisses, encore une fois, de mon foutre.

      Le lendemain, je partis au collège, interne.

Quand je revins à la Toussaint et que je souhaitai reprendre nos jeux, elle m’accueillit en compagnie d’une amie, qui me regardait étrangement, d'une manière que je trouvais vicieuse, elle aussi. Je pensais donc que nous jouerions à trois et m'en réjouissais fort.
       Mais elle me dit qu’elle ne voulait plus jouer à ça. Et elle partit en riant avec son amie.

Cet échec me déstabilisa, d'autant plus que l'expérience de l'internat dans un collège chic où j'étais le "prolo boursier" contribua aussi à occulter l'assurance et l'audace que j'affichais jusqu'alors, où tout me réussissait : études et sexe.

Devenu timide et renfermé, je ne devais pas toucher un autre corps de femme pendant six ans.
Et pourtant je tombais vraiment amoureux, pendant cette période, de cette Élisabeth dont je n’ai jamais connu les lèvres ou la peau, bien que je l'aie revue, apparemment désireuse à son tour, en 1968 alors que je sortais avec C. à qui j'avais décidé de rester fidèle (résolution rompue au bout d'un an à peine, mais pas avec Élisabeth partie alors vers d'autres cieux), puis 25 ans plus tard sans qu'elle m'inspirât alors le moindre désir, tant la jeune fille mince et audacieuse qu'elle était à 18 ans était devenue une bourgeoise tendance fasciste épaisse et sans séduction.
Je ne connus pas davantage lèvres et peau de Marie-Danièle, Béatrice, Marie-Hélène, Delphine ou Néfissa qui me firent rêver pendant mes années de collège sans autres manifestations que de les raccompagner chez elles à la sortie des cours, sans rien laisser soupçonner des désirs vicieux que j'avais d'elles, désirs qui se transformaient en épanchements nocturnes, solitaires, fréquents (tri-quotidiens au moins) et abondants.

La petite fille s’appelait Soizic.
Je ne l’ai revue qu’une fois, dix ans plus tard, quand mes parents revinrent habiter dans cette ville.
Elle m’a regardé comme un inconnu.

Et pourtant elle venait tous les ans en vacances chez sa mère qui continuait à parlotter avec la mienne quand elles se croisaient au marché ou à la sortie de la messe.

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