Bonjour,
J'ai vu qu'il était possible de poster de petits essaies d'écriture, alors je me lance.
Dite moi ce que vous en pensez, j'avoue que sur le long terme j'aimerais bien faire tout un livre car j'en ai plusieurs sous le coude (de nombreux inachevés).
Le Lapin Blanc
Chapitre 1
Je rentrais d’une soirée discussions, bière, par l’un des derniers métros.
Il n’y avait pas foule mais les lieux n’étaient pas déserts non plus, mon regard fit un tour d’horizon pour trouver une place. Parfait, il n’y avait personne prés de la fenêtre et c’est une place que j’affectionne particulièrement. Sachant que j’en avais pour un bon nombre de station, je laissais mon esprit vagabonder entre une trame de scénario pour mon prochain jeu de rôle et les remarques de Fred sur l’importance de la psychologie des personnages non joueurs dans une partie. Nous venions de passer une nouvelle station à laquelle je n’avais prêté aucune attention quand mon regard fut attiré par une jeune femme qui s’installait en face de moi.
Ce n’était pas un mannequin, ni le clicher de la femme fatal mais elle était mignonne et possédait des formes agréables. Il emmenait d’elle quelque chose d’attirant que je n’avais pas su décodé sur le moment. Un trouble s’empara de moi quand nos regards se croisèrent et la pensée folle de l’embrasser immédiatement me traversa l’esprit. Elle du lire quelque chose dans mes yeux car elle passa sa langue sur sa lèvre inférieur et la mordillant légèrement en étirant sa bouche sur un sourire.
Mon imagination me jouait des tours ou j’avais une ouverture ?
Je décidais de tester mon impression, après tout qui ne tente rien n’a rien.
J’approchais une main qui avait du mal à ne pas trembler de son genou, l’effleurais une 1ère fois en gardant mon regard rivé dans le sien. Elle me sourie encore et ragaillardie je faisais une nouvelle tentative. Cette fois c’était une caresse que ma main appliquait à son genou, son regard devint rieur sans que son sourire ne s’efface de sa bouche.
J’avais complètement perdu la notion du temps et c’est avec étonnement que je constatais avoir loupé mon arrêt. Je soufflait de mécontentement mais rien n’y ferait je descendrais à la prochaine station et devrait marcher, ça m’apprendra.
A la station suivante le métro s’arrêta net. Il était déjà 2h et d’après la voie dans le haut parleur il n’avait pas l’intention d’aller plus loin. La femme se leva attrapa ma main et m’entraîna à sa suite quand les portes s’ouvrirent.
Je la regardais m’entraîné dans les ruelles en me disant que cette nuit surréaliste allait peut-être me permettre enfin depuis des mois d’assouvir mes envies. Elle se retourna vers moi et me sourie, son visage ce rapprocha du mien, alors que je pensais qu’elle allait m’embrasser, son nez effleura ma joue et je sentis son souffle chaud à mon oreille.
: «J’ai envie que tu me fasses jouir.»
Elle avait touché juste, cette simple phrase augmenta mon excitation.
Peut importait l’endroit ou nous nous trouvions à présent, je n’avais qu’un seul désir, celui de l’entendre crier. C’est ainsi que je me retrouvais entrain de la plaquer contre un mur dans un recoin, caché d’un côté par l’un des retours du mur, mais exposé de l’autre par une vitrine en verre. Cela n’avait pas l’air de la déranger, je sentais son corps palpitant sous mes mains et j’oubliais totalement ou nous nous trouvions.
Quand sa bouche rentra en contacte avec la mienne et que je sentis sa petit langue chaude, le désir de la prendre maintenant m’envahi. Son souffle s’accéléra quand j’attrapais entre mes doigts un de ces tétons dressés par le désir, avec lequel je jouais en l’embrassant goulûment. J’avais envies d’elle et elle avait l’air ravie de le sentir, ma main passa la barrière de son jean qui avait été déboutonné sens que je ne sache comment et de sa culotte pour pouvoir atteindre son sexe inondé et palpitant. Quand mes doigts rentraire en contacte avec son clitoris, un tout petit cri de surprise et de contentement ce fit entendre et je sus que j’en voulais plus. Mes doigts glissaient tellement bien sur sa chatte mouillée aidé par les petits mouvements de va et viens de son bassin que c’est presque sans effort que je pu introduire mon majeur dans son orifice ouvert telle une fleur en plein soleil et de mon pouce continuer de titiller son petit bouton. C’est petit cris c’étaient accélérés et gagnait en intensité, c’était bon de l’entendre. Mais c’est quand, ces mêmes cris devinrent plaintifs que j’ouvrais les yeux et découvrais cette femme entièrement abandonnée dans mes bras, le plaisir explosa dans ma tête. Son expression, entre souffrance et délivrance me submergea de désir. Je su à se moment là qu’elle était à ma merci et que je pouvait lui faire ce que je voulais. Et ce que je voulais le plus au monde à ce moment précis, c’était lui donner ce qu’elle m’avait demandé. La faire jouir encore et encore jusqu'à l’orgasme, je ne pu m’empêcher de le lui susurrer à l’oreille. Je ne sais si c’est mon laïus ou la persévérance de mes doigts mais elle se cambra furieusement, c’est mains se crispèrent sur mes épaules et un râle de jouissance se fit entendre. Je sentis tout son corps se détendre. Si je ne l’avais pas soutenu, je pense qu’elle se serait laisser glisser sur le sol tellement ses jambes tremblaient. L’inquiétude me saisie persuadé que toutes les personnes encore éveillées dans les habitations alentour avait du l’entendre. Elle reprenait encore son souffle quand elle me dit : « c’était si bon, que j’aimerais vraiment sentir ta queue au plus profond de moi. »
J’avais vraiment très envie de nous satisfaire encore, mais la prudence me poussa à répondre que nous devrions trouver un autre endroit.
Elle faisait la moue en me suivant mais reboutonnât son pantalon. Nous nous mîmes en quêtes d’un endroit ou poursuivre notre oeuvre. Nous ne trouvions rien jusqu’au moment ou poussant toutes les portes des immeubles que nous croisions, l’une d’elle s’ouvrit. Débordé par notre excitation nous ne réfléchissions plus concrètement et c’est avec un naturel déconcertent que nous nous rendîmes au garage du logement. L’endroit sentait le carburant et n’était pas très propre, mais nous nous en contenterions. Le garage formait un « t » et une légère lumière diffuse provenant de la rue émanait du fond de la forme de droite, nous nous y sommes donc rendu. C’était la porte double de l’entrée des voitures qui se trouvait être en verre opaque recouverte d’une grille en croisillon qui laissait entrée cette lumière.
Ma Partenaire appuya son dos à la porte et j’entrepris de dégrafer son soutien gorge et de déboutonner son pantalon. Elle finissait de se débarrasser de celui-ci pendant que je l’embrassais et je sentais qu’elle était encore toute émoustillée alors que je ne l’avais pas encore retouché. J’embrassais son cou et descendais tout doucement vers sa poitrine, j’attrapais un de ses seins d’une main et engloutie son mamelon dans ma bouche, le lapant et l’aspirant par intermittence. Cela eu l’effet désiré et j’entendis rapidement de petit halètement. Alors que je m’attaquais au 2ème tétons délaissés, ma main libre entrepris de retrouver l’habitat humide et agréable qu’elle avait quittée peu de temps avant. Cette fille était formidable elle répondait par la jouissance au moindre de mes mouvements, j’aurais pu croire à une bonne simulatrice si son corps ne m’avait persuadé du contraire. Son sexe ne cessait pas de répandre son fluide dans ma main et des spasmes incontrôlé l’agitait à l’unisson de ces cris de plaisir.
Je ne pu m’empêcher de lui exprimer mon envie d’elle et dans un souffle elle me répondit par l’affirmatif. Alors qu’elle se retournait pour me présenter sa croupe, je constatais que mon sexe avait souffert de tant d’excitation et d’attente dans mon pantalon étroit et il n’était plus aussi fier qu’au commencement de nos ébats. Peu importait à l’air libre et frottant contre ses fesses cela devrait le ragaillardir. Alors qu’elle s’agrippait des 2 mains à la grille je me penchais sur elle, ma queue calée sur la raie de son cul et mes mains se baladant sur ses seins. Elle s’avança légèrement pour faire glisser mon membre entre ces jambes et commença à le branler entre sa main et sa chatte chaude et glissante de mouille. C’était tellement bon qu’a mon tour je commençais à haleter, il fallait qu’elle s’arrête, ma queue était toute dure à présent mais à se rythme je ne tiendrais pas longtemps. Donnant un à coût vers l’arrière, je me dégageais un peu de sa prise, mais elle me rattrapât de plus belle dans sa main elle aussi toutes douce et glissante à présent. Je ne vis aucune autre échappatoire que de lui dire la vérité : « arrête, tu m’excite tellement que je vais venir sur toi. »
Délicatement elle positionnât mon sexe sur le sien, le fis glisser doucement jusqu'à l’entrée de son vagin et l’introduit dans l’orifice glouton qui englobât mon gland. Enfin, je là possédait entièrement et une explosion de sensation irradiait de ma queue à tout mon corps. Un cri poussif de satisfaction accompagnât son action et elle entreprit par de petit mouvement de faire rentré ma verge plus profondément en elle. Quel ravissement de sentir son sexe enserrer le mien et d’entendre c’est gémissement de plaisir à chaque avancer du mien dans ces profondeurs palpitantes. Quand je fus arrivé au bout du chemin mes mains attrapèrent ces hanches et je poussais pour m’enfonçait encore plus en elle sur un râle de jouissance de sa part. Le balais du va et viens pouvait commencer, je perçus pendant notre acte ces mains qui agrippaient la grille de façon frénétique et les cris qu’elle tentait d’étouffer en se mordant la lèvre. L’image de cette femme que je faisais tant jouir et mon propre plaisir me submergea et j’expulsais ma semence à l’intérieur d’elle. Les jets de ma queue et le vagin de ma partenaire qui se resserrait sur moi finir par m’envahir et je jouis dans un cris long et grave.
Nous restâmes encore emboîté l’un dans l’autre un bon moment avant d’oser bouger. Quand elle se dégagea de moi je vis mon sperme couler le long de sa jambe et cela éveillât encore en moi une flamme d’excitation.
Elle remontât sa petite culotte déjà bien humide, qu’elle engluât de mon foutre en la remettant. Elle me sourit à nouveau et m’embrassât. J’eu l’impression d’un adieu et mon estomac se serra.
Mais elle me regardât et dit : « Bonjour, maintenant que je sais que nous allons nous revoir, je peux me présenter. Je m’appelle Alice. »
Désolée, le texte mériterait d'être un peu aéré, mais je poste en bossant et je vais éviter de m'attarder trop longtemps.
Voilà j'espère que ça vous aura plus et si c'est le cas je retravaillerais un peu la suite et la posterait sûrement.
Emma
De toutes les aberrations sexuelles, la pire est la chasteté.
(Une petite variante celle-ci est d'Anatole France)
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Sujet: Nouvelle coquine nommée "Le lapin Blanc" 
Jeu 30 Sep - 15:04
