limite

Chacun et chacune a ses limites personnelles, physiques, culturelles et intellectuelles.
Pour certains, la position du « missionnaire »est l’alfa et l’oméga. Le territoire qu’explore Perle est beaucoup plus vaste il doit être plus ennivrant (même si je ne lecomprends pas).
Je finirai par une phrase empruntée à P Desproges « Passé les bornes y a plus de limites »

le mieux est de pas avoir de limite avec la personne que l'on aime

les tabous on s'en fou ,ne mourrons pas idiot !!!

barbenoire a écrit:

Le territoire qu’explore Perle est beaucoup plus vaste il doit être plus ennivrant (même si je ne comprends pas).

C'est très vaste, en effet, et encore plus qu'on peut le penser ... Alors évidemment, c'est un peu différent des relations amoureuses "classiques".

wins a écrit:

le mieux est de pas avoir de limite avec la personne que l'on aime

Oui, c'est vraiment l'idéal. Mais il peut arriver que certaines personnes ne souhaitent pas dépasser un certain cadre. En BDSM, les limites sont parfois aussi salutaires. Certains Dom entraînent leur soumise dans des jeux d'abattage, de prostitution, qui constituent mes limites personnelles. Je suis ouverte à tout à deux, mais pas à ce genre de pratiques.

pour cette raison que j'utilise le mot "aime". l'abatage et la prostitution connais pas !

wins a écrit:

pour cette raison que j'utilise le mot "aime". l'abatage et la prostitution connais pas !

Certains Dominants prostituent leur soumise ... Le mot "aime" n'est donc pas hors contexte dans ce cas.

La prostitution comme gagne-pain personnel n’est pas « immorale »et ne me gêne absolument pas.
La prostitution pour l’enrichissement d’un soi-disant protecteur je réprouve totalement. Les peines punissant le proxénétisme sont insuffisantes.
La prostitution dans les relations SM me laisse dubitatif. Il y a certainement des situations sincères. Mais mon esprit suspicieux y voit aussi la possibilité d’une forme de coercition sur des jeunes femmes encore un peu naïves. C’est pour moi, le summum de l’abjection et il n’y a pas de mépris assez grand pour y enfermer cette « race » de proxénètes et je n’aurai qu’une envie c’est de les rouer vifs. (au risque de les faire jouir)