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 histoire a continuer

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titemeuf
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sexxxy
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sexxxy

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MessageSujet: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeMer 2 Avr - 16:19

tout commence un soir d ete ou la chaleur etait t elle que je n avais comme simple vetement un string en dentelle rouge ,
assise devant mon ordinateur j esperais que quelqu un serait connecter ....
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barbenoire
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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeJeu 3 Avr - 0:58

Quand : drinnnnng, c’est la sonnette de la porte d’entrée. Sans prendre garde à votre tenue, il fait encore si chaud, vous vous levez pour aller ouvrir la porte. Bon bon ..soir soir made made moiselle bafouille un homme d’une trentaine d’années. Je suis votre voisin. Excusez moi de vous déranger, mon frigo est en panne et je n’ai plus de glaçons pourriez vous me dépanner …………....(je passe le relais) histoire a continuer 149121
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titemeuf
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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeVen 4 Avr - 1:09

Aux rougeurs sur ses joues et son regard fuyant, je prends conscience de ma bien trop legere tenue...je rougis a mon tour en attrapant vite un vieux gilet accroché derriere la porte.
Je l'enfile rapidement, propose à mon voisin d'entrer et me dirige vers la cuisine pour chercher des glacons...
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Elsephir

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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeVen 4 Avr - 3:07

Le pauvre homme, au lieu de me suivre et d’entrer comme je le lui ai proposé, reste prostré à l’entrée, baissant timidement les yeux vers le tapis.

J’insiste donc, plus par peur que tout un chacun passant devant ma porte soit soumis à la vision de ma maison désordonnée, que par sociabilité réelle : « entrez donc, je vous dit, et fermez la porte derrière vous… je vous trouve lez glaçons, je suis à vous dans deux minutes ! ».

L’espace d’une seconde –précisément celle à laquelle j’ai prononcé la phrase « je suis à vous », me semble-t-il, je vois passer dans ses yeux une vive brillance effrayée, qui le pousse, le teint de plus en plus rougeâtre, à me rétorquer :

- Je… je m’excuse de vous… de vous….dé…déranger, mais je…

- Puisque je vous dis que vous ne me dérangez pas. J’arrive !

- ….mais je…(continue-t-il), je…j’ai…vraiment…un problème avec ce foutu… frigo…

- Oui oui…Et bien j’arrive, j’arrive, donc !

Je remarque qu’à l’évocation de « j’arrive » aussi, il vacille quelque peu. Plutot amusée, j’ouvre le réfrigérateur, et en sors une poignée de glaçons.

- Combien vous en faut-il? demande-je.

- Oh, et bien, je, je…

- Quatre, cinq ?

- Je…je…Des glaçons…Dans euh, mon, euh…

- Oui ?

- Mon…Mon....ECOUTEZ MADEMOISELLE, MON FRIGO EST MORT, OKAY ?.




S’ensuit un silence mortuaire.





- MORT! VOUS COMPRENEZ ?



Ce sur quoi, il enlève vivement sa chemise et, torse-nu, se met à me foncer littéralement dessus, l’air excité comme un âne sous caféine, la bave aux lèvres et la trique gonfl à bloque sous son jean, tout en criant « Glaaaaaaaa…..chooooooooon ! ».





(débrouillez vous avec ça)
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sexxxy

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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeVen 4 Avr - 11:41

la sonnette retentie lointaine comme presque inexistante j ouvre les yeux et je realise que tout ceci n etait qu un reve ... ouf j ai eu chaud !
la sonnette retentie a nouveau je me leve et passe un peignoir
je me dirige vers la porte
" c est pourquoi ? "
" je suis votre nouveau voisin je voudrais vous empruntez une rallonge si bien sure vous en avez une "
j ouvre ( au moins se n etais pas pour des glacons ) la , devant moi je decouvre un homme torse nu et d une carure assez impressionnante
"entrez je vous en pris vous voulez boire quelque chose ?"
" je veus bien merci ;mais je ne vais pas trop rester je ne voudrais pas vous deranger "

percé Razz
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Elsephir

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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeVen 4 Avr - 13:38

Le beau mâle s’installe sur le sofa.

Je ne peux pas m’empêcher de le reluquer, par petits coups d’oeils qui se veulent discrets, mais qui en réalité –je pense- ne le sont pas le moins du monde.

L’air décontracté, le sourire aux lèvres, il demande :

- J’espère que je ne vous dérange pas ?

- Non, répond-je, je me sentais justement un peu seule…

- Ah ?

Son sourire s’élargit.

- La solitude est le fléau moderne, plaisante-t-il alors. Moi-même, je ne suis pas sans la ressentir. Heureusement, quand on a de si jolies et agréables voisines, vos journées peuvent être plus agréables…

- Ah, ah…flatteur…

- Je le pense.

- Et bien…merci…

Je sens une montée de chaleur me parcourir l’ensemble du corps, et mes joues qui s’empourprent, tandis que mes lèvres s’humidifient à son simple regard. Ce mec là sait séduire, assurément, et il en a les moyens…

- Et bien, continue-je… je vais chercher votre rallonge…Je reviens tout de suite.

- A tout de suite, alors.

Il me fixe du regard, tandis que je disparais derrière le débarras pour lui chercher une rallonge. J’en profite pour desserrer quelque peu mon peignoir afin de souligner un peu plus mes formes. J’espère qu’à défaut de prendre sa rallonge, je l’aiderai à mieux m’offrir la sienne.

Une fois que j’ai trouvée la rallonge, je reviens vers le salon.

- j’ai trouvé, commence-je, j’imagine qu’elle sera assez longue et que…






Et là, vision d’épouvante.





Il n’est plus tout seul dans mon salon : ils sont douze.


Douze mec aux allures diverses –mais plus proches de bûcherons en mal de bibine que d’apollons à turbine- ; trois sont en train de regarder le foot sur ma TV, l’un est en train de dessiner sur le mur, un autre encore pisse sur mon radiateur, tandis que le plus petit de la troupe –est-il seulement majeur ?- se frotte, nue, contre le bonzaï que m’a offert ma grand-mère pour mes vingt ans.

Mon grand bellâtre de voisin, occupé pour sa part à finir les grilles de Sudoku que je venais de commencer, me jette un regard extasié puis s’exclame :

- Je me suis permis de ramener quelques amis, puisque vous vous sentiez seule ! Venez donc nous rejoindre, et aidez moi à finir cette grille de Sodo-koku, allez !



Sur le point de m’évanouir, hésitant encore à savoir si tout cela n’est pas un rêve (mais non, c’est belle et bien la réalité !), je deviens toute pâle, et m’appuie contre le mur, tandis qu’un autre de ses amis se dirige vers moi, l’air timide, le teint rougeâtre, et le pantalon défait.



- Vous n’auriez pas un glaçon ?



.
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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeVen 4 Avr - 13:56

" non desoler "
le bel apollon me regarde et me souri
" ne vous inquietez pas ils s en vont je fais cette petite blague assez souvant !"
les gars commencent a se lever et partir je me retrouve seul avec diego car c est son nom
" ne vous inquietez pas pour la peinture nous avions positionnez une feuille transparente en dessous "
il se leve et va decoller la feuille puis se positionne devant moi
" tenez j ai trouver une rallonge "
" merci " et " desoler "
" se n est pas grave je vous sert a boire "
"merci "
je le sens qui me suis dans la cuisine
" vous ... etes tres belle "
" merci "
" je sens que je deviens toute humide "




Razz Razz Razz Razz Razz
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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeLun 7 Avr - 17:15

- Diégo, c’est un prénom d’origine sud-américaine ?
- Oui, mon grand père était Argentin, mais moi je suis désargenté.
- J’ai de la Tequila, c’est mexicain, peut-être aimez vous.
- Bien sur que j’aime.
Je me baisse pour ouvrir le placard à alcools et Diégo se déplace un peu et de là où il se place il a une vue plongeante dans l’ouverture de mon peignoir que mon mouvement a largement agrandie. Je l’entends avaler sa salive. Je ne suis plus la seule à sentir monter l’excitation.
Il s’approche, je lui tends la bouteille en le regardant dans les yeux sans refermer mon décolleté. Il prend la bouteille et la pose sur la table. Il revient vers moi je lui tend les mains pour qu’il m’aide à me relever. Le contact de nos mains est électrique, sa peau est douce et chaude, je suis de plus en plus humide.
De retour à la verticale nos mains se détachent.
Attendez dis-je il nous faut des verres et du sel.
Je prépare un plateau avec l’alcool, les verres le sel une carafe d’eau fraîche et quelques olives et pistaches. Pendant ces préparatifs ses yeux ne me quittent pas et un sourire un peu carnassier se dessine sur ses lèvres qu’il a joliment ourlées.
Voilà c’est prêt nous pouvons retourner au salon.
Il me prend le plateau des mains et fait en sorte que nos joues s effleurent. Au salon il pose le plateau sur la table basse.
Asseyez vous sur le canapé dis-je mais avant de vous rejoindre je vais mettre un peu de musique. Je choisi un CD mexicain de musique préhispanique aux sonorités envoûtantes et planantes.
Les premières notes s’envolent et je vais m’installer près de lui sur le canapé.

(Je passe le relai je ne suis pas capable de décrire les ressentis féminins dans de telles situations)
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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeLun 7 Avr - 19:22

- vous n'auriez pas du Johnny Halliday, plutot ?

Je le fixe, blème.

- Non, je plaisante.

Il rigole, puis se rapproche quelque peu de moi.
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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeMer 9 Avr - 15:13

il commence a me prendre doucement la main je sens comme une douleur dans le bas ventre ...
je n en peus plus et commence a poser mon autre main sur sa cuisse et a remonter vers son bas ventre
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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeMer 16 Avr - 23:30

Alors pas un élément féminin pour reprendre la plume et poursuivre l’histoire. Elle ne peut pas s’arrêter comme
cela, c’est trop frustrant pour les personnages ! histoire a continuer 149121
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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeSam 19 Avr - 23:27

Pas d’écho ! Bon vous l’aurez voulu je continue.

Ma main continue sa lente progression vers ce qu’elle convoite quand :
Hello le soleil brille brille brille, l’air du pont de la rivière Kwaï se fait entendre. C’est son portable. La peste soit de ces maudits engins ! Il se lève et sort le téléphone de sa poche
-Diégo j’écoute
-…………………….
-oui, oui je l’ai
-……………………
- bien sur j’arrive.
Il raccroche et me regarde l’air mi-désolé mi ironique : c’était ma femme elle a un besoin urgent de la rallonge pour brancher un chauffe plats, nous avons des invités il faut que j’y aille. Il s’approche de moi me prend la main et y dépose un léger baiser.
Au revoir, à une autre fois peut-être. Ma femme vous rapportera la rallonge demain.
Sidérée, sans bouger je le regarde partir et la porte se refermer silencieusement Je mets quelques minutes pour récupérer de la « baffe » que je viens de prendre mais elle n’a pas coupé mon désir de sexe .Je me lève, pour ouvrir le tiroir du bahut et y prendre ma boîte de jouets et je me précipite vers la chambre à coucher où je me jette sur le lit en maugréant on n’est jamais si bien servi que par soi même.

Cela peut être une fin. Libre à qui voudra de poursuivre l’histoire, d’écrire une autre fin …Mais ne soyez pas timide participez. histoire a continuer 138194
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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeSam 19 Avr - 23:57

Pour lire plus facilement et apprécier cette « œuvre » collective, je la présente maintenant en un seul bloc. J’ai juste supprimé quelques fautes d’orthographe et uniformisé les polices et le corps des caractères.

Bonne lecture ! histoire a continuer 505595

Tout commence un soir d été ou la chaleur était t elle que je n’avais comme simple vêtement un string en dentelle rouge ,
assise devant mon ordinateur j espérais que quelqu un serait connecté ....

Quand : drinnnnng, c’est la sonnette de la porte d’entrée. Sans prendre garde à ma tenue, il fait encore si chaud, je me lève pour aller ouvrir la porte. Bon bon ..soir soir made made moiselle bafouille un homme d’une trentaine d’années. Je suis votre voisin. Excusez moi de vous déranger, mon frigo est en panne et je n’ai plus de glaçons pourriez vous me dépanner
Aux rougeurs sur ses joues et son regard fuyant, je prends conscience de ma bien trop légère tenue...je rougis à mon tour en attrapant vite un vieux gilet accroché derrière la porte.
Je l'enfile rapidement, propose à mon voisin d'entrer et me dirige vers la cuisine pour chercher des glaçons...

Le pauvre homme, au lieu de me suivre et d’entrer comme je le lui ai proposé, reste prostré à l’entrée, baissant timidement les yeux vers le tapis.
J’insiste donc, plus par peur que tout un chacun passant devant ma porte soit soumis à la vision de ma maison désordonnée, que par sociabilité réelle : « entrez donc, je vous dit, et fermez la porte derrière vous… je vous trouve lez glaçons, je suis à vous dans deux minutes ! ».
L’espace d’une seconde –précisément celle à laquelle j’ai prononcé la phrase « je suis à vous », me semble-t-il, je vois passer dans ses yeux une vive brillance effrayée, qui le pousse, le teint de plus en plus rougeâtre, à me rétorquer :
- Je… je m’excuse de vous… de vous….dé…déranger, mais je…
- Puisque je vous dis que vous ne me dérangez pas. J’arrive !
- ….mais je…(continue-t-il), je…j’ai…vraiment…un problème avec ce foutu… frigo…
- Oui oui…Et bien j’arrive, j’arrive, donc !
Je remarque qu’à l’évocation de « j’arrive » aussi, il vacille quelque peu. Plutot amusée, j’ouvre le réfrigérateur, et en sors une poignée de glaçons.
- Combien vous en faut-il? demande-je.
- Oh, et bien, je, je…
- Quatre, cinq ?
- Je…je…Des glaçons…Dans euh, mon, euh…
- Oui ?
- Mon…Mon....ECOUTEZ MADEMOISELLE, MON FRIGO EST MORT, OKAY ?.
S’ensuit un silence mortuaire.
- MORT! VOUS COMPRENEZ ?
Ce sur quoi, il enlève vivement sa chemise et, torse nu, se met à me foncer littéralement dessus, l’air excité comme un âne sous caféine, la bave aux lèvres et la trique gonflée à bloc sous son jean, tout en criant « Glaaaaaaaa…..chooooooooon ! ».

La sonnette retenti lointaine comme presque inexistante j ouvre les yeux et je réalise que tout ceci n était qu un rêve ... ouf j ai eu chaud !
la sonnette retenti à nouveau je me lève et passe un peignoir
je me dirige vers la porte
" c est pourquoi ? "
" je suis votre nouveau voisin je voudrais vous empruntez une rallonge si bien sur vous en avez une "
j ouvre (au moins ce n étais pas pour des glaçons) là , devant moi je découvre un homme torse nu et d’ une carrure assez impressionnante
"entrez je vous en prie vous voulez boire quelque chose ?"
" je veux bien merci ; mais je ne vais pas trop rester je ne voudrais pas vous déranger "

Le beau mâle s’installe sur le sofa.
Je ne peux pas m’empêcher de le reluquer, par petits coups d’oeils qui se veulent discrets, mais qui en réalité –je pense- ne le sont pas le moins du monde.
L’air décontracté, le sourire aux lèvres, il demande :
- J’espère que je ne vous dérange pas ?
- Non, répond-je, je me sentais justement un peu seule…
- Ah ?
Son sourire s’élargit.
- La solitude est le fléau moderne, plaisante-t-il alors. Moi-même, je ne suis pas sans la ressentir. Heureusement, quand on a de si jolies et agréables voisines, vos journées peuvent être plus agréables…
- Ah, ah…flatteur…
- Je le pense.
- Et bien…merci…
Je sens une montée de chaleur me parcourir l’ensemble du corps, et mes joues qui s’empourprent, tandis que mes lèvres s’humidifient à son simple regard. Ce mec là sait séduire, assurément, et il en a les moyens…
- Et bien, continue-je… je vais chercher votre rallonge…Je reviens tout de suite.
- A tout de suite, alors.
Il me fixe du regard, tandis que je disparais derrière le débarras pour lui chercher une rallonge. J’en profite pour desserrer quelque peu mon peignoir afin de souligner un peu plus mes formes. J’espère qu’à défaut de prendre sa rallonge, je l’aiderai à mieux m’offrir la sienne.
Une fois que j’ai trouvée la rallonge, je reviens vers le salon.
- j’ai trouvé, commence-je, j’imagine qu’elle sera assez longue et que…
Et là, vision d’épouvante.
Il n’est plus tout seul dans mon salon : ils sont douze.
Douze mec aux allures diverses –mais plus proches de bûcherons en mal de bibine que d’apollons à turbine- ; trois sont en train de regarder le foot sur ma TV, l’un est en train de dessiner sur le mur, un autre encore pisse sur mon radiateur, tandis que le plus petit de la troupe –est-il seulement majeur ?- se frotte, nu, contre le bonzaï que m’a offert ma grand-mère pour mes vingt ans.
Mon grand bellâtre de voisin, occupé pour sa part à finir les grilles de Sudoku que je venais de commencer, me jette un regard extasié puis s’exclame :
- Je me suis permis de ramener quelques amis, puisque vous vous sentiez seule ! Venez donc nous rejoindre, et aidez moi à finir cette grille de Sodo-koku, allez !
Sur le point de m’évanouir, hésitant encore à savoir si tout cela n’est pas un rêve (mais non, c’est bel et bien la réalité !), je deviens toute pâle, et m’appuie contre le mur, tandis qu’un autre de ses amis se dirige vers moi, l’air timide, le teint rougeâtre, et le pantalon défait.
- Vous n’auriez pas un glaçon ?

" non desolé "
le bel apollon me regarde et me souri
" ne vous inquiétez pas ils s en vont je fais cette petite blague assez souvent !"
les gars commencent à se lever et partir je me retrouve seule avec Diego car c’est son nom
" ne vous inquiétez pas pour la peinture nous avions positionnez une feuille transparente en dessous "
il se lève et va décoller la feuille puis se positionne devant moi
" tenez j ai trouvé une rallonge "
" merci " et " désolé "
" ce n’ est pas grave je vous sert à boire "
"merci "
je le sens qui me suis dans la cuisine
" vous ... êtes très belle "
" merci "
" je sens que je deviens toute humide "

- Diégo, c’est un prénom d’origine sud-américaine ?
- Oui, mon grand père était Argentin, mais moi je suis désargenté.
- J’ai de la Tequila, c’est mexicain peut-être aimez vous.
- Bien sur que j’aime.
Je me baisse pour ouvrir le placard à alcools et Diégo se déplace un peu et de là où il se place il a une vue plongeante dans l’ouverture de mon peignoir que mon mouvement a largement agrandie. Je l’entends avaler sa salive. Je ne suis plus la seule à sentir monter l’excitation.
Il s’approche, je lui tends la bouteille en le regardant dans les yeux et sans refermer mon décolleté. Il prend la bouteille et la pose sur la table. Il revient vers moi je lui tend les mains pour qu’il m’aide à me relever. Le contact de nos mains est électrique, sa peau est douce et chaude, je suis de plus en plus humide.
De retour à la verticale nos mains se détachent.
Attendez dis-je il nous faut des verres et du sel.
Je prépare un plateau avec l’alcool, les verres le sel une carafe d’eau fraîche et quelques olives et pistaches. Pendant ces préparatifs ses yeux ne me quittent pas et un sourire un peu carnassier se dessine sur ses lèvres qu’il a joliment ourlées.
Voilà c’est prêt nous pouvons retourner au salon.
Il me prend le plateau des mains et fait en sorte que nos joues s effleurent. Au salon il pose le plateau sur la table basse.
Asseyez vous sur le canapé dis-je mais avant de vous rejoindre je vais mettre un peu de musique. Je choisi un CD mexicain de musique préhispanique aux sonorités envoûtantes et planantes.
Les premières notes s’envolent et je vais m’installer près de lui sur le canapé.
- vous n'auriez pas du Johnny Hallyday, plutôt ?
Je le fixe, blême.
- Non, je plaisante.
Il rigole, puis se rapproche quelque peu de moi.

Il commence à me prendre doucement la main je sens comme une douleur dans le bas ventre ...
je n’en peux plus et je commence à poser mon autre main sur sa cuisse et à remonter vers son bas ventre.

Ma main continue sa lente progression vers ce qu’elle convoite quand :
Hello le soleil brille brille brille, l’air du pont de la rivière Kwaï se fait entendre. C’est son portable. La peste soit de ces maudits engins ! Il se lève et sort le téléphone de sa poche
-Diégo j’écoute
-…………………….
-oui, oui je l’ai
-……………………
- bien sur j’arrive.
Il raccroche et me regarde l’air mi-désolé mi ironique : c’était ma femme elle a un besoin urgent de la rallonge pour brancher un chauffe plats, nous avons des invités il faut que j’y aille. Il s’approche de moi me prend la main et y dépose un léger baiser.
Au revoir, à une autre fois peut-être. Ma femme vous rapportera la rallonge demain.
Sidérée, sans bouger je le regarde partir et la porte se refermer silencieusement Je mets quelques minutes pour récupérer de la « baffe » que je viens de prendre mais elle n’a pas coupé mon désir de sexe .Je me lève, pour ouvrir le tiroir du bahut et y prendre ma boîte de jouets et je me précipite vers la chambre à coucher où je me jette sur le lit en maugréant on n’est jamais si bien servi que par soi même.
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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeSam 10 Sep - 23:04

Magic rabbit etait là fidéle ,dans son ecrain .je sais son manche, mi agacée, mi languissante et je lui caressai l'interrupteur
Lui au moins ,n'etait pas comem ses imitaztions de chaire et de sang inconstant ,volage tel la plume au vent...
Mais, fatalitas, le chéri à bibi ne repondait pas...amprhe aussi reactif qu'un begue en manque de glaçon et utile qu'un compisseur de radiateurs
J'entrepris d'autopsier son bas ventre pour en extraire les 2 LR6, rechargeables, vides, come de bien entendu
Et ce maudit Diego qui avaity emporté la rallonge pour brancher le rechaud à convivialité de sa femme puisqu'ils recevaient ce soir...
saisissant mon courage, et mon peignoire a deux mains je bondissa ou bondissu, je sais pas, mais en tout cas j'alla, par la nuit caliente, recuperer auprés du buveur de tequilu ou tequila, mon grand cable, long et lisse afin de m'offrire enfin un doigt et même, soyons folle une pleine main, de bonheur salvateur
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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeMar 13 Sep - 0:27

Merci d’avoir repris le relais abandonné.
J’inclurai votre texte à la fin du collectif dans quelques jours. Ce soir je vais me coucher.
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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeJeu 15 Sep - 22:29

Pour lire plus facilement et apprécier cette « œuvre » collective, je la présente maintenant en un seul bloc. J’ai juste supprimé quelques fautes d’orthographe et uniformisé les polices et le corps des caractères.

Bonne lecture ! histoire a continuer 505595

Tout commence un soir d été ou la chaleur était t elle que je n’avais comme simple vêtement un string en dentelle rouge ,
assise devant mon ordinateur j espérais que quelqu un serait connecté ....
Quand : drinnnnng, c’est la sonnette de la porte d’entrée. Sans prendre garde à ma tenue, il fait encore si chaud, je me lève pour aller ouvrir la porte. Bon bon ..soir soir made made moiselle bafouille un homme d’une trentaine d’années. Je suis votre voisin. Excusez moi de vous déranger, mon frigo est en panne et je n’ai plus de glaçons pourriez vous me dépanner
Aux rougeurs sur ses joues et son regard fuyant, je prends conscience de ma bien trop légère tenue...je rougis à mon tour en attrapant vite un vieux gilet accroché derrière la porte.
Je l'enfile rapidement, propose à mon voisin d'entrer et me dirige vers la cuisine pour chercher des glaçons...
Le pauvre homme, au lieu de me suivre et d’entrer comme je le lui ai proposé, reste prostré à l’entrée, baissant timidement les yeux vers le tapis.
J’insiste donc, plus par peur que tout un chacun passant devant ma porte soit soumis à la vision de ma maison désordonnée, que par sociabilité réelle : « entrez donc, je vous dit, et fermez la porte derrière vous… je vous trouve lez glaçons, je suis à vous dans deux minutes ! ».
L’espace d’une seconde –précisément celle à laquelle j’ai prononcé la phrase « je suis à vous », me semble-t-il, je vois passer dans ses yeux une vive brillance effrayée, qui le pousse, le teint de plus en plus rougeâtre, à me rétorquer :
- Je… je m’excuse de vous… de vous….dé…déranger, mais je…
- Puisque je vous dis que vous ne me dérangez pas. J’arrive !
- ….mais je…(continue-t-il), je…j’ai…vraiment…un problème avec ce foutu… frigo…
- Oui oui…Et bien j’arrive, j’arrive, donc !
Je remarque qu’à l’évocation de « j’arrive » aussi, il vacille quelque peu. Plutot amusée, j’ouvre le réfrigérateur, et en sors une poignée de glaçons.
- Combien vous en faut-il? demande-je.
- Oh, et bien, je, je…
- Quatre, cinq ?
- Je…je…Des glaçons…Dans euh, mon, euh…
- Oui ?
- Mon…Mon....ECOUTEZ MADEMOISELLE, MON FRIGO EST MORT, OKAY ?.
S’ensuit un silence mortuaire.
- MORT! VOUS COMPRENEZ ?
Ce sur quoi, il enlève vivement sa chemise et, torse nu, se met à me foncer littéralement dessus, l’air excité comme un âne sous caféine, la bave aux lèvres et la trique gonflée à bloc sous son jean, tout en criant « Glaaaaaaaa…..chooooooooon ! ».
La sonnette retenti lointaine comme presque inexistante j ouvre les yeux et je réalise que tout ceci n était qu un rêve ... ouf j ai eu chaud !
la sonnette retenti à nouveau je me lève et passe un peignoir
je me dirige vers la porte
" c est pourquoi ? "
" je suis votre nouveau voisin je voudrais vous empruntez une rallonge si bien sur vous en avez une "
j ouvre (au moins ce n étais pas pour des glaçons) là , devant moi je découvre un homme torse nu et d’ une carrure assez impressionnante
"entrez je vous en prie vous voulez boire quelque chose ?"
" je veux bien merci ; mais je ne vais pas trop rester je ne voudrais pas vous déranger "
Le beau mâle s’installe sur le sofa.
Je ne peux pas m’empêcher de le reluquer, par petits coups d’oeils qui se veulent discrets, mais qui en réalité –je pense- ne le sont pas le moins du monde.
L’air décontracté, le sourire aux lèvres, il demande :
- J’espère que je ne vous dérange pas ?
- Non, répond-je, je me sentais justement un peu seule…
- Ah ?
Son sourire s’élargit.
- La solitude est le fléau moderne, plaisante-t-il alors. Moi-même, je ne suis pas sans la ressentir. Heureusement, quand on a de si jolies et agréables voisines, vos journées peuvent être plus agréables…
- Ah, ah…flatteur…
- Je le pense.
- Et bien…merci…
Je sens une montée de chaleur me parcourir l’ensemble du corps, et mes joues qui s’empourprent, tandis que mes lèvres s’humidifient à son simple regard. Ce mec là sait séduire, assurément, et il en a les moyens…
- Et bien, continue-je… je vais chercher votre rallonge…Je reviens tout de suite.
- A tout de suite, alors.
Il me fixe du regard, tandis que je disparais derrière le débarras pour lui chercher une rallonge. J’en profite pour desserrer quelque peu mon peignoir afin de souligner un peu plus mes formes. J’espère qu’à défaut de prendre sa rallonge, je l’aiderai à mieux m’offrir la sienne.
Une fois que j’ai trouvée la rallonge, je reviens vers le salon.
- j’ai trouvé, commence-je, j’imagine qu’elle sera assez longue et que…
Et là, vision d’épouvante.
Il n’est plus tout seul dans mon salon : ils sont douze.
Douze mec aux allures diverses –mais plus proches de bûcherons en mal de bibine que d’apollons à turbine- ; trois sont en train de regarder le foot sur ma TV, l’un est en train de dessiner sur le mur, un autre encore pisse sur mon radiateur, tandis que le plus petit de la troupe –est-il seulement majeur ?- se frotte, nu, contre le bonzaï que m’a offert ma grand-mère pour mes vingt ans.
Mon grand bellâtre de voisin, occupé pour sa part à finir les grilles de Sudoku que je venais de commencer, me jette un regard extasié puis s’exclame :
- Je me suis permis de ramener quelques amis, puisque vous vous sentiez seule ! Venez donc nous rejoindre, et aidez moi à finir cette grille de Sodo-koku, allez !
Sur le point de m’évanouir, hésitant encore à savoir si tout cela n’est pas un rêve (mais non, c’est bel et bien la réalité !), je deviens toute pâle, et m’appuie contre le mur, tandis qu’un autre de ses amis se dirige vers moi, l’air timide, le teint rougeâtre, et le pantalon défait.
- Vous n’auriez pas un glaçon ?
" non desolé "
le bel apollon me regarde et me souri
" ne vous inquiétez pas ils s en vont je fais cette petite blague assez souvent !"
les gars commencent à se lever et partir je me retrouve seule avec Diego car c’est son nom
" ne vous inquiétez pas pour la peinture nous avions positionnez une feuille transparente en dessous "
il se lève et va décoller la feuille puis se positionne devant moi
" tenez j ai trouvé une rallonge "
" merci " et " désolé "
" ce n’ est pas grave je vous sert à boire "
"merci "
je le sens qui me suis dans la cuisine
" vous ... êtes très belle "
" merci "
" je sens que je deviens toute humide "
- Diégo, c’est un prénom d’origine sud-américaine ?
- Oui, mon grand père était Argentin, mais moi je suis désargenté.
- J’ai de la Tequila, c’est mexicain peut-être aimez vous.
- Bien sur que j’aime.
Je me baisse pour ouvrir le placard à alcools et Diégo se déplace un peu et de là où il se place il a une vue plongeante dans l’ouverture de mon peignoir que mon mouvement a largement agrandie. Je l’entends avaler sa salive. Je ne suis plus la seule à sentir monter l’excitation.
Il s’approche, je lui tends la bouteille en le regardant dans les yeux et sans refermer mon décolleté. Il prend la bouteille et la pose sur la table. Il revient vers moi je lui tend les mains pour qu’il m’aide à me relever. Le contact de nos mains est électrique, sa peau est douce et chaude, je suis de plus en plus humide.
De retour à la verticale nos mains se détachent.
Attendez dis-je il nous faut des verres et du sel.
Je prépare un plateau avec l’alcool, les verres le sel une carafe d’eau fraîche et quelques olives et pistaches. Pendant ces préparatifs ses yeux ne me quittent pas et un sourire un peu carnassier se dessine sur ses lèvres qu’il a joliment ourlées.
Voilà c’est prêt nous pouvons retourner au salon.
Il me prend le plateau des mains et fait en sorte que nos joues s effleurent. Au salon il pose le plateau sur la table basse.
Asseyez vous sur le canapé dis-je mais avant de vous rejoindre je vais mettre un peu de musique. Je choisi un CD mexicain de musique préhispanique aux sonorités envoûtantes et planantes.
Les premières notes s’envolent et je vais m’installer près de lui sur le canapé.
- vous n'auriez pas du Johnny Hallyday, plutôt ?
Je le fixe, blême.
- Non, je plaisante.
Il rigole, puis se rapproche quelque peu de moi.
Il commence à me prendre doucement la main je sens comme une douleur dans le bas ventre ...
je n’en peux plus et je commence à poser mon autre main sur sa cuisse et à remonter vers son bas ventre.
Ma main continue sa lente progression vers ce qu’elle convoite quand :
Hello le soleil brille brille brille, l’air du pont de la rivière Kwaï se fait entendre. C’est son portable. La peste soit de ces maudits engins ! Il se lève et sort le téléphone de sa poche
-Diégo j’écoute
-…………………….
-oui, oui je l’ai
-……………………
- bien sur j’arrive.
Il raccroche et me regarde l’air mi-désolé mi ironique : c’était ma femme elle a un besoin urgent de la rallonge pour brancher un chauffe plats, nous avons des invités il faut que j’y aille. Il s’approche de moi me prend la main et y dépose un léger baiser.
Au revoir, à une autre fois peut-être. Ma femme vous rapportera la rallonge demain.
Sidérée, sans bouger je le regarde partir et la porte se refermer silencieusement Je mets quelques minutes pour récupérer de la « baffe » que je viens de prendre mais elle n’a pas coupé mon désir de sexe .Je me lève, pour ouvrir le tiroir du bahut et y prendre ma boîte de jouets et je me précipite vers la chambre à coucher où je me jette sur le lit en maugréant on n’est jamais si bien servi que par soi même.
Magic rabbit etait là fidéle ,dans son ecrin .je sais son manche, mi agacée, mi languissante et je lui caressai l'interrupteur
Lui au moins ,n'etait pas comem ses imitaztions de chaire et de sang inconstant ,volage tel la plume au vent...
Mais, fatalitas, le chéri à bibi ne repondait pas...amprhe aussi reactif qu'un begue en manque de glaçon et utile qu'un compisseur de radiateurs
J'entrepris d'autopsier son bas ventre pour en extraire les 2 LR6, rechargeables, vides, comme de bien entendu
Et ce maudit Diego qui avait emporté la rallonge pour brancher le rechaud à convivialité de sa femme puisqu'ils recevaient ce soir...
saisissant mon courage, et mon peignoir a deux mains je bondissa ou bondissu, je sais pas, mais en tout cas j'alla, par la nuit caliente, recuperer auprés du buveur de tequilu ou tequila, mon grand cable, long et lisse afin de m'offrire enfin un doigt et même, soyons folle une pleine main, de bonheur salvateur
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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeJeu 3 Jan - 9:17

Alors, je décida de voir de plus près ce souple et leurs amis. JE m'habilla d'une robe qui tombe sur mes genoux, et le haut légèrement dévolté mais qui épouse bien ma poitrine. En dessous je ne porte pas de culotte mais un soutient gorge qui pousse vers le haut les formes rondes et charnues de ma poitrine. JE me sens sexy et prête à affronter les voisins. Je me saisie d'une autre rallonge et je trouverais bien un prétexte de passer chez eux.
Je me sens un peu timide mais l'effet de cet homme sur moi et ma curiosité, me donne le courage de monter.
JE sors de chez moi et gravis les quelques escaliers....

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MessageSujet: Re: histoire a continuer   histoire a continuer Icon_minitimeLun 20 Juil - 23:21

De retour à l'apart, je me dépêche de collecter la rallonge et de recharger ces maudites batterie lorsque mon téléphone sonne. C'est Crazyman, Bonjour toi, comment va, y a longtemps que l'on ne s'est pas parlés, tu fais quoi???
"Je pensais à toi pour une petite sauterie virtuelle!! Ça t'intéresse???"
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